Du 31 octobre au 9 novembre, le 7ème festival du film coréen de Bruxelles battra son plein, célébrant notamment l’année de la Palme d’Or pour Parasite de Bong Joon-Ho au festival de Cannes en mai dernier. Une consécration méritée, tant depuis presque 30 ans, le cinéma du pays du matin calme n’en finit pas de nous surprendre.
Alors que le chef d’œuvre de Bong Joon-Ho quitte lentement les salles belges et avant que nous en reparlions lors des référendums de fin d’année, les transmetteurs ont eu l’envie de reprendre la plume.
Tout spécialement, nous nous sommes intéressés à La Servante de Kim Ki-Young (1961), un film et un réalisateur qui ont marqué toute une génération de cinéastes coréens et auquel Bong Joon-Ho rend de multiples hommages dans son dernier film. De plus, signalons ici que le festival du film coréen de Bruxelles propose une autre œuvre rare du réalisateur Kim Ki-Young: Goryeojang (1963).
Au programme:
- Notre podcast spécial sur La Servante (1960) de Kim Ki-Young.
- La revisite de Barking Dogs never bite (2000), le premier film de Bong Joon-Ho, à la lumière de sa dernière oeuvre. Par Manuel Haas.
- L’analyse de Memories Of murder (2003), le film qui l’a fait connaître. Par Lucien Halflants.
- L’analyse de La Servante de Kim Ki-Young (1960), oeuvre matricielle du cinéma sud-coréen, qui a profondément marqué Bong Joon-Ho et beaucoup de cinéastes de sa génération. Par Olivier Grinnaert.
Bonnes découvertes !
4 thoughts on “Autour de « Parasite »”